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  Du gonflement et de l’enflure

En Luc, on trouve cette guérison d’un hydropique. D’une certaine façon, nous ne quittons pas nos histoires d’outres qui risquent d’éclater.

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 Le Centurion indigne

Ce passage appelle plusieurs questions : Pourquoi tant de paralytiques dans les Evangiles ? Que vient faire ici un « Centurion » ? Que signifie le discours du Centurion, en Mt 8, 9 ?  Pourquoi Jésus voit-il dans ce discours une grande foi ? (Mt 8, 10)

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  Un étranger sur le toit

Chez Marc et Luc, les guérisons de paralytiques sont un peu différentes. Il n’y est plus question de Centurions indignes, mais plutôt de grabataires audacieux.

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 La belle-mère de Pierre

Dans l’Evangile selon Matthieu, immédiatement après l’épisode du Centurion, l’histoire de la guérison de la belle-mère de Pierre tient en deux versets. Quel est le sens de cette guérison ?

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Cuisine italienne

Roland Barthes, on le sait, a écrit sur Racine (Sur Racine, 1963). Mais il a aussi, on le sait moins, écrit sur Corneille. Je veux parler, bien entendu, du Corneille des Actes (Ac 10,1). Roland Barthes analyse ce texte avec sa virtuosité habituelle, nous donnant au passage une superbe leçon de sémiotique structurale.

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Jean-Baptiste et la narratologie

Découragés par la piètre qualité du grec des Evangiles, harcelés par le problème synoptique, taraudés par le mystère apocryphe, certains exégètes recherchent désormais le salut du coté de la sémantique structurale et de la narratologie. Encouragés par les travaux de Propp sur les contes populaires russes, certains ont eu l’idée d’appliquer les méthodes modernes aux textes néo-testamentaires.

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 L’Epître aux Hébreux

On sait que le Coran entretient un rapport particulier avec la mémoire ou la remémoration (dhikr). La racine dhāl kāf rā (ذ ك ر) intervient près de 300 fois dans le Coran et introduit souvent la mention des grands personnages de la Bible. La Sourate 19 mentionne plusieurs personnages aussi bien juifs que chrétiens.

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 La vie des bêtes

Si la sourate 18 est, selon notre hypothèse, une sorte d’Epître aux Hébreux, un argumentaire qui explique pourquoi l’Islam est désormais héritier de la Prophétie, il faut qu’elle bénéficie d’une cohérence rhétorique dans toutes ses composantes.

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  Vigne vierge

Le Coran traite à de nombreuses reprises du Paradis, qu’il nomme le Jardin (sauf en 18, 107 où l’on a firdous, peut-être un calque de l’hébreu tardif pardés). En ce sens il s’inscrit dans la tradition Judéo-chrétienne. En hébreu gan ‘eden, c’est le Jardin d’Eden qui devient le réceptacle des Justes à leur trépas.

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